A l’heure des « Tweet », des « Yamm », ou des « Poke » en entreprise, vendus comme les bruits collaboratifs de l’entreprise moderne, qu’en est il réellement des pratiques d’un spécialiste de l’intégration des applications web? Petit tour d’horizon du contexte Atol CD:
# Le choix de l’open source, mais d’abord de la productivité!
Atol CD est connu pour son savoir-faire Alfresco. Alors forcément, l’outil est installé et largement utilisé par les équipes. C’est le centre de capitalisation documentaire, et un espace de partage de documents (finalisés, livrables) avec les clients. Ce sont des espaces ordonnés, par activité, par projet. Plutôt que d’être envoyés par mail, les documents sont déposés, classés et notifiés, puis visionnés en ligne plutôt que téléchargés.
Gros producteur de documents (offres, spécifications, documentations, …), Atol CD a souvent recours à la « co-construction » de ses livrables. Pour cela, la suite Google est très pratique pour travailler en ligne notamment grâce au Drive, bien intégré au poste de travail. Les suites bureautiques peuvent vite être nécessaires pour aller plus loin dans la mise en forme ou les fonctions avancées. Historiquement, l’open source est privilégié (OpenOffice et dérivés), mais la suite Microsoft Office est de plus en plus utilisée (plus évoluée, plus intuitive?) notamment par les profils moins techniques a fortiori plus producteurs de documents. Les fonctions collaboratives d’Alfresco (Commentaires, édition, versions, …) rendent alors de nombreux services.
Toujours friand d’open source, Atol CD utilise Typo3 et WordPress pour sa présence internet, vTiger pour son CRM, RedMine pour le pilotage de ses projets, ou Pentaho pour consolider toutes ces données et l’aider à piloter son activité. Mais Atol CD reste pragmatique dans ses choix : Si le groupware Kolab a été utilisé dans le passé, il a été remplacé par la suite de Google, une solution capable de répondre au besoin de la collaboration en ligne. La migration pour le mail et l’agenda était alors naturelle (et largement poussée par la cohérence de l’offre Google…).
# Continuer à se moderniser pour pouvoir grandir
Atol CD n’en est pas au « Zero email » en interne (marque déposée!), mais parvient à limiter son usage : le travail sur un document ne se traduit pas par un échange de nombreux messages avec pièce jointe, et une simple question posée à un collègue se fait plutôt par la messagerie instantanée (ou de vive voix, ça marche également très bien!). Le mail est évité dès que c’est possible, grâce à des outils alternatifs qui ont su le rendre tout simplement moins pratique pour certains usages…
On pourra remarquer dans ce qui précède qu’Atol CD ne possède pas son réseau social d’entreprise. Ou pas encore, car un certain Slack est en train d’émerger par des conversations surtout informelles. Sachant que certaines analyses prédisent l’adoption du RSE par les utilisateurs finaux, le « Shadow IT »…
Atol CD va continuer à se moderniser inévitablement, du fait d’une distance grandissante entre les collaborateurs. Si un sachant peut vite être trouvé dans un petit open space entre « anciens », il le sera beaucoup plus difficilement dans un contexte d’expansion sur plusieurs sites avec de nouveaux collaborateurs à intégrer régulièrement.
1 juillet 2017 at 13 h 58 min
Bonjour je voulais savoir ce qu’est devenu geokettle qui est restée à la version 2.5 (j’ai trouvé une version 2.6 … ) qui s’appuie sur pentaho kettle version 3 ….
cordialement.
3 juillet 2017 at 9 h 59 min
Bonjour
GeoKettle est mort… (et la société Spatialytics avec…)
Du coup si vous voulez faire du traitement spatial dans Pentaho Data Integration, nous vous invitons à télécharger les plugins GIS développés par nos soins, en les téléchargeant depuis la marketplace de Kettle
Plus d’infos dans cet article :
https://blog.atolcd.com/une-extension-gis-dans-pentaho-data-integration-5/